Il était attendu au tournant,depuis la découverte de ce projet il y à quelques mois ainsi que sa bande annonce énigmatique et terrifiante,un projet qu’ont attendait plus tant le film était pressenti vers un avenir incertain pour un fututr échec du cinema français de genre,cependant,il restait un espoir , l’espoir d’une renaissance du cinema de genre français , tout simplement une renaissance du film d’arraignée tant ces types de projet ne furent que parasités par de vulgaire projets opportunistes a la sauce nanar de type «Asymium », cet espoir se révéler prometteur liès à la premiere réalisation d’un nouveau cinéaste en devenir ; Sebastian Vanicek et de son scenariste , un certains Florent Bernard , connu dans le paysage audio-visuel de Youtube depuis de nombreuse années , cette volonté de proposer un pure film de monstre anxyogène et claustrophobique dans une banlieue française n’etait que pure fantasme et illusion , un pari ambitieux et peut être sauveur pour un cinema de genre français en perdition se rattachant à certains de ses fondements (Alexandre Aja , Xavier Gens , Julia Ducourneau) , alors , pari réussi ?
Il en est fallu de peu , et pourtant , il faut a Sebatsian Vanicek 1 heure et 40 minutes pour faire renaître un genre en putrefaction vers un retour aux sources de la plus terrifiant des manières pour les plus sensibles arachnophaubes , un cauchemar qui monte crescendo jusqu’à un final dantesque et cauchemardesque rappelant les plus grands moments du film « The Mist » dans Frank Darabont , « Vermines » est une reussite totale tant le realisateur s’attache à pousser le genre dans ses dernier retranchement de par son idée de reproduction et de grossissement de ces creatures cauchemardesque poussant vers un certains réalisme sans ne jamais tomber dans une quelconque parodie nanardesque style « Arack-Attack », mais bien de se demander dans quelle situation de merde serait-on si ça nous arriver vraiment , une situation qui peut s’averer réelle tant Sebastion Vanicek s’attache a chaque détails afin de nous faire prendre consçience de la situation alarmiste de nos protagonistes ; Immeubles confinés , Batiments tombant vers la ruine , panne de lumière , tension entre voisins . Les protagonistes d’ailleurs, parlons-en tant ils sont chacun à leur manières intéressant et developer selon leur comportements et les liens qu’ils les unissent , chacun interpreter de manières extrêmement sobre mais profondément authentique , mention spéciale à Théo Christine , decouvert dans le biopic de NTM ; « SUPREME » jouant un Joeystarr animal et profondment touchant , qui tient le film ici sur ses épaules de par son charisme et son sens de l’humour aiguë , ainsi que l’ex-Youtuber et nouveau humoriste Jerome Niel dans un role de tête brulée bull-dog ayant le sang-Chaud , tout ses personnages , ont les doit au talent du jeune scénariste et maintenant réalisateur Florent Bernard qui a su insuffler à son film , au-delà de ses personnages hauts en couleur , un drame humain tantôt clichés sur les bords , tantôt classique de par les choix scénaristique mais qui réussit cependant à incorporer des themes sociaux fort sur les banlieue françaises , non pas si profondément developper comme l’avait su à merveille développer Ladj Ly dans « Les Miserables » mais qui reste cependant honorable dans ce genre de projet et qui laisse supposer sur le véritable sens du titre ; « Vermines » de qui parle t-on vraiment dans ce cas la ; des habitants ou des creatures ?
Aini , ce pari fou et fantasmé est totalement assumé de par la volonté de ses auteurs de toujours aller plus loin vers l’horreur et des mechanismes que ce genre apporte et de comment il est emprunté pour mieux réutiliser les codes pré-établis de manière assumer et jouissive , qui donne au premier long-metrage de Sebastian Vanicek ; un vent de fraîcheur dans le cinema français et une renaissance du film de monstre avec nos amis a huit pattes , un film qui vous prendra dans sa toile et ne vous lâchera jamais pour une veritbale séance de cauchemar assumé, drole , fun , dérangeante et déroutante . Un film ou le cauchemar est representé par une (plusieurs) petites bêtes poilues à huit pattes façon Made in France …..je dis foncer !!! courrer pour voir cet OVNI du Cinéma qui ne mérite que votre attention prouvant encore une fois que le cinéma français n’a rien a envier à ses voisins Américains, surtout par rapport aux cinema Horrifique Américain en pleine chute depuis de nombreuses années !
Attention tout de même a prendre des bombes insecticides , on sait jamais 🛑
🌕🌕🌕🌕🌘
Rédigé le 27 Mai 2024 par Vadim Perrod